L'entrepreneuriat social est une manière d'entreprendre qui place l'efficacité économique au service de l'intérêt général. Quel que soit le statut le statut juridique des entreprises (association, coopérative, SAS, …), leurs dirigeants font du profit un moyen, non une fin en soi.

Derrière ce mot se trouve une constellation d'entreprise : Association, Mutuelle, Coopératives, Fondations ou Société Commerciale à vocation sociale. Il existe comme dans le BIO un risque de "social washing" mais également celui de "l'imposteur sincère". C'est pour cela qu'il faut travailler sur une définition normative de l'impact social afin d'être en mesure de l'évaluer : le retour social sur investissement (SROI)

Le commerce équitable est un système d'échange dont l'objectif est de parvenir à une meilleure égalité dans le commerce conventionnel. Sa démarche consiste à utiliser le commerce comme un levier de développement et de réduction des inégalités, en veillant à la juste rétribution des producteurs. À cette perspective économique s'ajoutent des préoccupations éthiques, sociales et environnementales qui ne font pas toujours l'unanimité, ne nécessitant pas l'intermédiaire des États et la modification des législations nationales.

Les RDI, est un modèle commercial qui cherche à réduire la pauvreté en intégrant des personnes vulnérables à des tâches directement impliquées dans la création et la fourniture d’un produit ou d’un service au consommateur final (distribution, marketing, vente et service). Que ce soit dans les pays développés ou les pays en développement, les projets dits de « RDI » poursuivent deux objectifs complémentaires : la performance économique et la recherche d’un impact social significatif.

Le terme « entreprise à mission » désigne les nouvelles formes de sociétés commerciales (à but lucratif) qui se définissent statutairement, en plus du but lucratif, une finalité d'ordre social ou environnemental.

Le terme a été introduit en 2015 par Kevin Levillain, chercheur à MINES ParisTech.